Dans son rapport sur les perspectives 2025, elle estime qu'il s'agira "probablement de l'une des trois années les plus chaudes en termes de température moyenne mondiale, juste derrière 2024 et 2023".
La fin du phénomène naturel El Niño qui, combiné au réchauffement climatique d'origine humaine, avait poussé les températures en 2023-2024, devrait normalement entraîner un refroidissement.
Cette estimation est identique aux conclusions de l'observatoire européen Copernicus publiées lundi.
Selon les derniers calculs de l'ONU, le monde n'est pas du tout en bonne voie pour réduire sa pollution carbone et éviter une très forte aggravation des sécheresses, des canicules ou des pluies torrentielles déjà observées, coûteuses en vies humaines et en impacts économiques.