Toutes les options sont désormais ouvertes, et nous ne pouvons rester indifférents aux crimes de guerre commis contre la population de Gaza.
Nous ne donnons pas d'ordres aux forces de la résistance dans la région, elles prennent leurs propres décisions.
Les bombardements israéliens et le siège de la Bande de Gaza n'ont pas cessé, dix jours après le déclenchement des hostilités avec le mouvement de résistance palestinien Hamas. Selon l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, plus d'un million de personnes, soit près de la moitié de la population totale de Gaza, ont été déplacées.
Les affrontements ont commencé le 7 octobre, lorsque le Hamas a déclenché l'opération "Déluge d'Al-Aqsa", une attaque surprise sur plusieurs fronts comprenant un barrage de tirs de roquettes et des infiltrations en territoire israélien par voie de terre, de mer et d'air. Le groupe a déclaré que cette incursion était une riposte à la prise d'assaut de la mosquée d'Al-Aqsa et à l'augmentation des violences commises par les colons.
L'armée israélienne a ensuite lancé l'opération "Épées de fer" contre des cibles du Hamas dans la Bande de Gaza.
Le bilan des victimes palestiniennes tuées par les frappes aériennes israéliennes dans la Bande de Gaza s'élève à 2836 morts, dont 750 enfants. 1 300 personnes ont été tuées en Israël.