Des dizaines de syndicalistes ont été appelé à se réunir devant le commissariat ce vendredi matin, en vue de manifester leur désaccord concernant ces arrestations, a indiqué la CGT sur les réseaux sociaux.
Le syndicat a annoncé la libération des deux militants vers 13 heures (UTC+2), sans préciser les charges qui ont été retenus contre eux, et a indiqué qu'ils ont été arrêtés pour des soupçons d'apologie du terrorisme, à la suite d'un communiqué publié le 10 octobre, trois jours après les attaques menées contre des civils israéliens.