L'objectif est d'éviter que des biens interdits d'exportation vers la Russie ne trouvent un chemin pour approvisionner le complexe militaire russe.
Une société iranienne, deux compagnies des Emirats Arabes Unis, deux firmes basées en Ouzbekistan, une en Arménie et une en Syrie sont également concernées.
Les Européens ont par ailleurs interdit l'accès aux ports et aux écluses du territoire de l'UE aux navires soupçonnés d'avoir enfreint l'interdiction d'importer du pétrole brut et des produits pétroliers russes par voie maritime.
Ils ont également prolongé la suspension des licences de radiodiffusion dans l'Union de cinq médias russes sous le contrôle permanent des dirigeants russes, ainsi que l'interdiction de diffuser leur contenu.
L'accord trouvé par les ambassadeurs des pays de l'UE doit encore être formellement endossé. Les identités des personnes et des entités sanctionnées seront alors publiés au Journal officiel de l'UE et les mesures entreront en application.