Des partisans de l'Union Sacrée, la nouvelle coalition majoritaire à l'Assemblée nationale de la République Démocratique du Congo. Crédit photo: Arsene Mpiana / AFP
Les autorités de la RDC ont rejeté jeudi les accusations de l'ONG Human Rights Watch concernant une présumée "répression" et "intimidation" d'opposants, ont rapporté des médias africains.
L'ONG Human Rights Watch (HRW) avait dénoncé mardi, dans un rapport, la
"répression"
et les
"intimidations"
auxquelles l'opposition politique fait face, à quatre mois de la présidentielle,
"dans un contexte de tensions politiques accrues"
, rappelle le site VOA.
Évoquant des
"vagues d'arrestations et de restrictions des libertés fondamentales"
, cette organisation de défense des droits humains a affirmé que les autorités de la RDC ont
"pris pour cible des dirigeants de partis politiques"
, précise la même source.
"La RDC récuse de manière catégorique les allégations de restriction des libertés fondamentales, d’arrestations arbitraires et d'intimidation"
, a réagi Kinshasa dans un communiqué du ministère de la Communication.
À Goma, capitale de la province du Nord-Kivu (est), douze militants du mouvement Lutte pour le changement (Lucha) ont été
"arrêtés brutalement"
autour des installations de la commission électorale
"lorsqu’ils dénonçaient les pratiques de monnayage de la délivrance des duplicata à ceux qui ont eu des cartes illisibles"
, a déclaré un dirigeant du groupe, Bienvenu Matumo, cité par le même média.
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