Tout au long de la soirée, des bougies ont été allumées aux côtés de drapeaux Palestiniens, en hommage aux victimes de l’offensive menée par Israël sur la Bande de Gaza.
À l’initiative d’Amira Zaiter et Hager Barkous, de l’association "De Nice à Gaza", les participants ont pu se recueillir devant les portraits de plusieurs disparus gazaouis.
Au cours d’une audience qui a duré une vingtaine de minutes et à laquelle Anadolu a assisté, Maître Sadouni, qui défendait les deux organisatrices de l’événement, Amira Zaiter et Hager Barkous, a notamment pointé des atteintes à plusieurs libertés dont la liberté d’expression, et la liberté de manifester.
Il a également accusé les manifestations d’être à l’origine d’une augmentation des actes antisémites dans le département des Alpes-Maritimes où 38 actes auraient été recensés.
À noter que le préfet Hugues Moutouh, a interdit l’ensemble des manifestations en lien avec la Palestine depuis le début de la guerre débutée le 7 octobre.
Si le tribunal lui a donné raison pour la première manifestation, il a été systématiquement désavoué par la justice pour toutes les suivantes.