La chaîne a rapporté mardi qu’ils sont entrés en Israël dans la semaine précédant l’attaque. Ensuite elle a déclaré:
Certains n’ont pas de permis valide pour travailler en Israël alors d’autres le possèdent.
Il a été décidé de les maintenir en Israël et de ne pas les renvoyer dans la Bande de Gaza.
Israël a autorisé, avant l'opération du Hamas, des milliers de travailleurs à quitter Gaza pour travailler en Israël.
Pour la onzième journée consécutive, l'aviation israélienne a intensifié ses bombardements contre Gaza, ciblant des bâtiments et des installations résidentiels. Israël a également suspendu les approvisionnements en eau, en électricité et en nourriture, entre autres nécessités à la Bande de Gaza, selon l'agence de presse palestinienne.
Pour rappel, des affrontements ont commencé le 7 octobre, lorsque le Hamas a déclenché l'opération "Déluge d'Al-Aqsa", une attaque surprise sur plusieurs fronts comprenant des tirs de roquettes et des infiltrations en territoire israélien par voies terrestres, maritimes et aériennes. Le groupe a déclaré que cette incursion était une riposte à la prise d'assaut de la mosquée d'Al-Aqsa et à l'augmentation des violences commises par les colons.
L'armée israélienne a ensuite lancé l'opération "Épées de fer" contre des cibles du Hamas dans la Bande de Gaza.