La vice-présidente des Philippines, Sara Duterte, convoquée par la justice philippine après des propos lui valant d'être accusée de complot contre le président Ferdinand Marcos, a démenti mardi toute volonté d'assassiner son ancien allié.
Mais leur alliance s'est brisée de façon spectaculaire à mesure qu'approchent les élections générales de mi-mandat de l'année prochaine.
Nouvel épisode de leur rivalité
La vice-présidente a été accusée de complot et convoquée pour une enquête après une conférence de presse émaillée d'injures ce week-end, durant laquelle elle a déclaré avoir ordonné que le président soit tué si elle-même devait être assassinée.
Conflits entre alliés politiques et familiaux
Ni l'un ni l'autre n'ont fourni de preuves de leurs allégations.