La France a été de nouveau le théâtre de violences dans la nuit de vendredi à samedi, en réaction au décès de Nahel, tué mardi par un policier, pour un refus d'obtempérer lors d'un contrôle routier.
Par ailleurs, quelque 1.350 véhicules ont été incendiés, 234 bâtiments ont été incendiés ou dégradés et 2.560 incendies ont été comptabilisés sur la voie publique.
La veille, après une troisième nuit de violences urbaines, le président français, Emmanuel Macron, avait convoqué une nouvelle cellule interministérielle de crise, à l'issue de laquelle il avait annoncé le déploiement de moyens supplémentaires pour la police.