Elle a souligné que cette situation conduit à la saisie de terres privées appartenant aux Palestiniens et à la discrimination contre les Palestiniens déplacés de force, en plus de l'impunité des colons impliqués dans des actes de violence et des forces de sécurité israéliennes qui y ont participé.
Pour la première fois depuis sa création en 1948, Israël est accusé de génocide devant la Cour internationale de Justice (CIJ), la plus haute instance judiciaire des Nations unies, à cause de ses opérations militaires à Gaza. Un arrêt rendu en janvier par la CIJ a ordonné à Tel-Aviv de prévenir la réalisation d'actes susceptibles d'être considérés comme génocidaires et de prendre des mesures pour garantir l'acheminement de l'aide humanitaire aux civils de Gaza.