A quelques jours du 24 février, un an après le début de l'invasion russe, la pression occidentale s'accroît sur la Chine, qui n'a jamais appuyé ni critiqué publiquement l'offensive, tout en exprimant plusieurs fois son soutien à Moscou face aux sanctions occidentales.
Dimanche, le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken a averti que la Chine envisageait de fournir des armes à la Russie, à l'issue d'une rencontre avec son homologue chinois Wang Yi à Munich, en marge de la Conférence sur la sécurité.
Mise en garde
La vice-présidente américaine, Kamala Harris, présente à Munich samedi, avait elle aussi mis en question la neutralité affichée par la Chine.