C'est ce qui ressort du discours de Mansour lors d'une session au siège de l'ONU à propos l'usage du veto par Washington au Conseil de sécurité le 20 février 2024 contre un projet de résolution appelant à un cessez-le-feu humanitaire à Gaza.
La famine n'est pas la conséquence de la guerre, mais plutôt une arme de guerre qu'Israël utilise.
Il a exhorté les États membres de l'ONU à appeler à un cessez-le-feu à Gaza.
Pour la première fois depuis sa création en 1948, Israël est accusé de génocide devant la Cour internationale de Justice (CIJ), la plus haute instance judiciaire des Nations unies, à cause de ses opérations militaires à Gaza. Un arrêt rendu en janvier par la Cour a ordonné à Tel-Aviv de prévenir la réalisation d'actes susceptibles d'être considérés comme génocidaires et de prendre des mesures pour garantir l'acheminement de l'aide humanitaire aux civils de Gaza.