Allemagne: peine de prison pour un officier régional du PKK

Les services de renseignement turcs ont neutralisé un responsable du groupe terroriste PKK/KCK lors d'une opération menée dans la région de Gara, dans le nord de l'Irak.

Les renseignements turcs ont neutralisé Necirvan Seven, le responsable de la logistique des forces spéciales du PKK/KCK, au cours d'une opération menée à Gara, dans le nord de l'Irak, ont annoncé des sources sécuritaires vendredi.

Dans le cadre des élections présidentielle et législative turques du 14 mai, dans plusieurs villes de France, des sympathisants du groupe terroriste PKK ont semé le désordre en perturbant ce scrutin organisé pour les Turcs vivant à l'étranger, en toute impunité. Le PKK, reconnu comme une organisation terroriste par de nombreux pays, mène depuis des décennies une campagne violente contre l'État turc, causant la mort de milliers de personnes innocentes. Pourtant, certains individus, se revendiquant sympathisants du PKK, trouvent refuge à l'étranger, notamment dans les pays reconnaissant ce groupe comme terroriste, spécifiquement la France, utilisant la liberté et les droits démocratiques dont ils jouissent pour promouvoir leur agenda destructeur. Ces individus agissent de manière organisée pour perturber les élections des Turcs vivant à l'étranger, cherchant à influencer les résultats et à restreindre la libre expression démocratique. Leurs méthodes incluent l'intimidation, la manipulation de l'information, voire la violence physique, créant ainsi un climat de peur et de division parmi les citoyens turcs qui souhaitent exercer leur droit de vote à l'étranger. Ce comportement inacceptable met en lumière l'urgence de prendre des mesures fermes pour mettre fin à cette impunité.

Un groupe de partisans de l'organisation terroriste PKK a attaqué des assesseurs dimanche, alors que les élections présidentielle et législatives turques se déroulaient dans la capitale néerlandaise, Amsterdam. La police s'est précipitée sur les lieux et est intervenue avec des matraques et des chiens contre les assaillants, qui criaient des slogans en faveur du PKK et de son chef condamné, Abdullah Öcalan, également connu sous le surnom d'Apo.