Nous sommes aujourd'hui le 10 décembre. 7 000 enfants ont été massacrés à Gaza. Sept mille enfants, des bébés innocents ont été massacrés par Israël. Les assassins sionistes commettent ce génocide en nous regardant dans les yeux et en riant. Ils détruisent un à un les enfants du peuple palestinien, dont ils ont volé les terres, les maisons et les territoires. Nous n'avons pas pu l'empêcher, nous n'avons pas pu arrêter Israël. Tous ceux qui vivent à l'époque où nous vivons ce massacre ont leur part
Nous sommes aujourd'hui le 10 décembre. 7 000 enfants ont été massacrés à Gaza. Sept mille enfants, des bébés innocents ont été massacrés par Israël. Les assassins sionistes commettent ce génocide en nous regardant dans les yeux et en riant.
Ils détruisent un à un les enfants du peuple palestinien, dont ils ont volé les terres, les maisons et les territoires.
Nous n'avons pas pu l'empêcher, nous n'avons pas pu arrêter Israël. Tous ceux qui vivent à l'époque où nous vivons ce massacre ont leur part du gâteau. Ceux qui ont une conscience, une dignité et un honneur n'oublieront jamais ces jours. En tant qu'humanité, que d'atrocités pouvons-nous encore voir, que de douleur pouvons-nous encore endurer. Nous ne nous en rendons peut-être pas compte, mais
Gaza est devenu notre seuil de douleur.
Israël traumatise le monde moderne. Nous sommes à court d'émotions. Je le dis en mon nom, j'en conviens, seule une juste vengeance peut désormais refroidir les cœurs enflammés. Je n'écris pas avec haine, au contraire, avec compassion, le sourire de Rim, qui est passé des genoux de son grand-père au ciel, me vient aux yeux. Mais d'abord, nous ne devons pas oublier notre haine et notre colère.
Il est évident que le sionisme propage la haine à toute l'humanité en massacrant la population de Gaza.
Netanyahou a sans doute remplacé Hitler. Les Israéliens meurtriers, barbares, assassins ne sont pas différents des nazis.
Ils ne manquent pas, ils ont plus.
L'autre jour, un autre grand-père de Gaza, disant au revoir à son petit-fils massacré, a fait trembler les cieux avec sa prière: "Ô Allah ! Détruis ces infidèles, ces nazis fascistes".
Bien sûr, nous ne pouvons pas convaincre ceux qui ignorent la politique génocidaire d'Israël, qui ne peuvent pas renoncer à leur intérêt personnel, qui ont des dettes politiques et qui, en outre, ne reconnaissent pas de telles barbaries dans le mode de vie séculier d'Israël. Mais faire connaître au monde moderne le véritable Israël serait le plus grand service que l'on puisse rendre à l'humanité.
Nous n'avons pas pu sauver les enfants de Gaza, mais nous devrions au moins préparer les générations futures, tous les enfants, à de plus grands génocides.
Car cet Israël ne s'arrêtera pas là. Il ne s'arrêtera pas. Acceptons que nous sommes entrés dans une voie de non-retour. Israël sera à la porte de tous les pays qui se taisent, se recroquevillent et ignorent le génocide de Gaza aujourd'hui.
Car selon la théologie juive, l'humanité est divisée en deux classes : les Juifs et les non-Juifs (les Goï).
Le mot "Goï" utilisé pour décrire les non-Juifs fait référence à une sorte d'animal de service.
Pour la communauté juive, le reste du monde, les Goï, sont des êtres créés pour les servir. L'acceptation de la "race supérieure" dans le judaïsme, qui fait partie de leur système de croyances, est également le point de vue de l'État d'Israël. C'est le fondement de sa politique. Sans connaître cette croyance et cette motivation profondément enracinées, nous ne pouvons pas comprendre à quel type d'Israël nous sommes confrontés.
Les jeunes, en particulier, n'arrivent pas à comprendre les atrocités dont ils ont été témoins et cherchent des réponses aux questions suivantes : "Pourquoi Israël tue-t-il des enfants et pourquoi massacre-t-il systématiquement des civils sans la moindre hésitation ? Selon eux, ce qu'ils voient est une "éclipse de la raison", mais selon les soldats israéliens, la vie continue comme si de rien n'était.
Y avez-vous prêté attention ? Récemment, de nombreuses vidéos de soldats sionistes entrant dans les maisons qu'ils ont rasées, jouant avec les objets restants et s'amusant sont apparues sur les médias sociaux.
Ils prennent les tétines des bébés qu'ils ont massacrés dans leur berceau comme souvenirs.
Ils piétinent notre douleur.
Par exemple, un soldat israélien a demandé une femme en mariage dans les décombres où des centaines de personnes sont mortes.
Une compagnie de soldats qui a assisté à ces moments a également fait la fête sur des cadavres de bébés. Nous avons regardé ces moments, nos bouches étaient ouvertes, nos esprits ne pouvaient pas comprendre. Ils se moquent de notre douleur. Ils le font exprès. Parce qu'ils aiment humilier le reste de l'humanité, qu'ils considèrent comme des Goï. Nous sommes confrontés à une telle compréhension psychopathique de l'humanité, qui va bien au-delà des valeurs que nous connaissons, que nous ressentons et auxquelles nous croyons.
Il est donc vain d'attendre la pitié de l'État d'Israël et des soldats sionistes d'où nous sommes assis, de leur demander de ne pas assassiner un autre bébé.
Le tueur est très clair et déterminé. Israël s'enfonce dans Gaza, buvant du sang. Le monde s'abstient, c'est nous qui sommes indécis, qui nous interrogeons. N'est-ce pas ?
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