Cette frappe aérienne intervient au onzième jour du conflit israélo-palestinien. Un grand nombre d'organisations non gouvernementales et de dirigeants mondiaux réaffirment que la campagne de bombardement israélienne sur la bande de Gaza assiégée -y compris les établissements de santé, les habitations et les lieux de culte- viole le droit international et pourrait constituer un crime de guerre.
Les bombardements et le blocus de la bande de Gaza se poursuivent onze jours après le début du conflit opposant Israël au groupe palestinien Hamas. Plus d'un million de personnes ont été déplacées, soit près de la moitié de la population totale de Gaza, selon l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (Unrwa).