De plus en plus de soldats israéliens suspectés de crimes de guerre à Gaza sont identifiés grâce à leurs propres publications sur les réseaux sociaux, facilitant enquêtes et signalements. Mais, plutôt que de prévenir ces crimes, Israël demande à ses soldats de limiter leurs publications en ligne. En France, malgré une législation permettant de déchoir de leur nationalité les citoyens impliqués dans des crimes graves, aucun des 4 000 soldats franco-israéliens n’a été poursuivi, malgré la reconnaissance internationale des crimes à Gaza et des mandats d’arrêt visant Netanyahu et Gallant. Cette impunité interroge et appelle à une réponse judiciaire internationale urgente.
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