Le président sud-coréen suspendu, Yoon Suk Yeol, a refusé d'assister à un nouvel interrogatoire prévu ce jeudi, invoquant son droit au silence après son arrestation spectaculaire mercredi.
Le dirigeant, premier chef d’État sud-coréen en exercice à être arrêté, est accusé de tentative de rébellion, un crime passible de la peine de mort.
Une arrestation historique
Droit au silence et audiences contestées
Le président Yoon est souffrant et a pleinement expliqué sa position hier, il n’y a plus lieu de l’interroger.
La tentative de loi martiale
Procédure de destitution et implications politiques
La Cour constitutionnelle doit statuer sur la motion de destitution adoptée par le Parlement. Si elle est validée, Yoon Suk Yeol perdra son titre de président, et des élections devront être organisées dans les 60 jours.
Malgré son absence aux audiences, la procédure se poursuit, alimentant un climat politique tendu en Corée du Sud.
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