Ils ont nié ces deux chefs d'inculpations, passibles de la prison à perpétuité, mais ont plaidé coupables de charges moins graves, notamment de traitement cruel, inhumain ou dégradant, de travail illégal et de séjour illégal en Ouganda.
Comment un couple qui a reconnu avoir battu et maltraité un enfant, l'avoir privé de nourriture et d'eau et l'avoir fait rester dans une chambre froide sans vêtements peut-il être condamné à une peine légère, à payer une amende et... à s'en aller ?
Le garçon en question était l'un des trois enfants dont le couple avait la charge.
Les adoptions internationales d'enfants ont créé la controverse en Ouganda. En 2020, les autorités américaines ont lancé des poursuites et imposé des sanctions économiques à l'encontre d'une organisation d'adoption basée aux États-Unis, qui plaçait des enfants non-orphelins dans des familles américaines.