Plusieurs locaux d’entreprises et de consultants, de même que l’établissement public chargé des infrastructures Olympiques (Solideo) font également l’objet de perquisitions pour les mêmes faits, depuis le début de la journée.
Ces perquisitions interviennent à un an de l’ouverture des JO 2024 à Paris et alors qu’une polémique avait déjà éclaté en début d’année après la divulgation dans la presse, de faits pouvant être assimilés à de l’exploitation de travailleurs sans papiers dans des conditions indignes.