L’incendie survenu il y a 10 jours dans la capitale a eu pour conséquence la rareté du carburant.
Dans la nuit du 17 au 18 décembre dernier, un incendie s’est déclaré au dépôt d’hydrocarbures de Kaloum, en centre-ville de Conakry. Les feux étaient d’une violence telle qu’ils ont fait des dégâts humains et matériels très importants. Le bilan officiel fourni par les autorités, quelques jours plus tard, s’établit à 23 morts et 285 blessés.
A Conakry, précisément sur la célèbre route Le Prince, en allant vers Ratoma, de longues files de motocyclettes en attente d’être approvisionnées se sont constituées, selon le constat d’un journaliste de Nouvelle Aube.