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Geneviève Lakier, professeur de droit à l’Université de Chicago, a critiqué le licenciement de plusieurs écrivains et éditeurs en raison de leur opposition à Israël.
"Depuis longtemps, nous n'avons pas ressenti cette pression sur la liberté d'expression",
a annoncé Lakier dans une déclaration au journal américain Politico.
Récemment, le travail de nombreux éditeurs et écrivains aux États-Unis qui ont exprimé leurs opinions contre les attaques israéliennes sur la Bande de Gaza a pris fin.
En outre, plusieurs étudiants universitaires qui avaient déclaré qu’Israël commettait un
à Gaza se sont également vu retirer leur offre d’emploi.
Un groupe de défenseurs des droits humains basé aux États-Unis, appelé
et auquel appartient Lakier, a observé le licenciement de 260 personnes de leur emploi en raison de leurs opinions anti-israéliennes.
Lakier a exprimé sa profonde préoccupation face aux pressions exercées sur la liberté d'expression aux États-Unis d'Amérique, notant que les universités sont également sous pression depuis longtemps en raison des campagnes anti-israéliennes.
Depuis près d'un mois, l’armée israélienne poursuit une
contre Gaza, au cours de laquelle 9 500 Palestiniens ont été tués, dont 3 900 enfants et 2 509 femmes, et plus de 24 000 autres blessés. 151 Palestiniens ont également été tués et 2 080 arrêtés en Cisjordanie, selon des sources officielles palestiniennes.
Le Hamas a tué plus de 1 538 Israéliens et en a blessé 5 431, selon des sources officielles israéliennes, il a aussi capturé au moins 242 Israéliens qu'il veut échanger contre plus de 6 000 détenus palestiniens, dont des enfants et des femmes, dans les prisons israéliennes.
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