C’est ce qui ressort d’un communiqué du porte-parole de la Direction générale de la Garde nationale (Gendarmerie), Houssem Eddine Jebabli, consulté par Anadolu.
Pour rappel, cinq migrants d'origine subsaharienne sont morts noyés, mercredi 22 mars, et 28 autres sont portés disparus, après le naufrage de leur embarcation au large de la Tunisie, selon le Forum tunisien pour les droits économiques et sociaux (FTDES), une organisation non gouvernementale chargée des questions migratoires.
Quelque 21 000 Subsahariens sont présents en Tunisie, (pays qui compte douze millions d’habitants, ndlr), la plupart sont en situation irrégulière.