
Donald Trump poursuit son bras de fer avec le pouvoir judiciaire, cette fois en utilisant une loi de 1798 pour expulser des migrants vénézuéliens présumés membres d’un gang.
Trump remet en cause les grâces de Biden
Dans un autre défi à l’ordre juridique, Donald Trump a annoncé son intention de poursuivre ses adversaires politiques, remettant en cause les grâces accordées par Joe Biden.
Sur Truth Social, il a affirmé que certaines grâces étaient nulles et non avenues, arguant qu’elles avaient été signées via un automate, et non directement par l’ancien président. Il suggère ainsi que Biden n’était pas au courant des documents qu’il signait, une accusation récurrente de Trump visant à décrédibiliser son successeur.
Parmi les bénéficiaires de ces grâces figurent Anthony Fauci, ancien conseiller sur le Covid-19, ainsi que des membres de la commission d’enquête sur l’assaut du Capitole du 6 janvier 2021.
Une interprétation radicale des lois sur l’immigration
Au-delà des implications judiciaires, ces actions illustrent la volonté de Donald Trump d’étendre le pouvoir présidentiel au maximum.
Depuis son retour au pouvoir le 20 janvier, nombre des décisions de Donald Trump ont été attaquées en justice et plusieurs ont déjà été bloquées par les tribunaux.
À lire également:
Bonjour, les commentaires que vous partagez sur notre site sont une ressource précieuse pour les autres utilisateurs. Veuillez respecter les autres utilisateurs et les différentes opinions. N'utilisez pas de langage grossier, offensant, humiliant ou discriminatoire.
Soyez le premier à commenter