Cette question divise le pays depuis des mois. Des centaines de personnes pour ou contre le projet se sont rassemblées pour protester devant le parlement, les militants pro-excision étant plus nombreux que les partisans du statu quo.
Le Parlement a ensuite adopté la première loi interdisant spécifiquement cette pratique, qui est désormais passible d'une peine pouvant aller jusqu'à trois ans d'emprisonnement.