M. Orban a provoqué la colère des autres dirigeants européens en se rendant le 5 juillet à Moscou pour rencontrer le président Poutine. Son initiative a en revanche été défendue mercredi par l'eurodéputé français Jordan Bardella (RN, extrême droite).
La Hongrie occupe depuis le 1er juillet la présidence semestrielle du Conseil de l'UE, une fonction de coordination des travaux législatifs qui n'autorise pas à s'exprimer au nom des Européens sur la scène internationale.
Le Français Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a quant a lui déclaré:
On ne peut pas accuser la Hongrie, partenaire fiable de l'Alliance atlantique, de vouloir maintenir ouverts les canaux de discussion.