L'orthographe est restée figée à 1835, alors que la langue ne cesse d'évoluer. Il y a donc un décalage de plus en plus grand.
Pour ces linguistes, l'urgence serait plutôt d'apprendre aux élèves à utiliser un correcteur, vu qu'ils écriront toute leur vie sur un clavier d'ordinateur.
Les Linguistes atterrés prônent également la disparition de la dictée, qu'ils trouvent contreproductive. C'est le contraire des recommandations du ministre français de l'Éducation nationale, Pap Ndiaye, qui en souhaite une par jour.