"Pas une grosse bombe"
37 livres ce n'est pas une grosse bombe.
Colin Clarke, du centre de recherches new-yorkais Soufan Group, constate:
Dans une année électorale, les lignes rouges (de Joe Biden) sont de plus en plus brouillées.
Élection
Ce positionnement a suscité la colère de l'électorat d'origine arabe et d'une partie de l'électorat progressiste contre Joe Biden.
Toute (sa) carrière avait été marquée par un soutien sans ambiguïté à Israël.
Son prédécesseur Barack Obama (2009-2017) avait déclaré en 2012 que l'utilisation d'armes chimiques par le président syrien Bachar al-Assad en serait une, qui exigerait une réponse militaire américaine.
Un an plus tard, quand près de 1.500 personnes, dont des centaines d'enfants, étaient mortes dans une attaque chimique près de Damas, imputée au régime, il n'avait pourtant pas déclenché de frappes américaines.