Mustapha Zaimi, 40 ans, participant au rassemblement organisé à l'appel du Groupe de travail national pour la Palestine, a estimé auprès de l'AFP:
Ismaïl Haniyeh était un leader de la résistance palestinienne, son décès n'est pas une chose acceptable, c'est un crime.
À Tunis, ils étaient entre 400 et 500 manifestants, certains agitant des drapeaux palestiniens, du Hezbollah libanais ou des portraits du chef du Hamas, selon une équipe de l'AFP sur place.
Depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre, plusieurs manifestations de grande ampleur ont eu lieu au Maroc pour réclamer une abrogation de la normalisation, alors que l'opposition à ce processus était jusque-là limitée.