Le ministre japonais de la Défense, Minoru Kihara.
Le ministère de la Défense a déclaré qu'il cherchait à répondre aux changements dans les opérations de défense induits par les avancées technologiques.
L'utilisation de l'IA permettrait également d'accélérer les opérations de combat, de réduire les erreurs humaines et d'avancer dans l'automatisation pour économiser la main-d'œuvre, selon la nouvelle politique.
"Nous approfondirons la coopération avec le secteur privé et les agences étrangères concernées en transmettant de manière proactive le point de vue du ministère de la Défense"
, a déclaré le chef de la défense, Minoru Kihara.
La politique a toutefois souligné que l'IA a ses limites, notamment dans les situations sans précédent, car l'IA apprend à partir de données passées. Elle a également noté que des préoccupations concernant la crédibilité et les abus de l'IA subsistent.
Kihara a déclaré aux journalistes que la capacité du Japon à s'adapter
"aux nouvelles formes de bataille"
utilisant l'IA et la technologie cybernétique est devenue un défi pour renforcer les capacités de défense du pays.
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