Depuis mi-décembre, dans la plus grande discrétion, des troupes d'Afrique du Sud, de Tanzanie et du Malawi arrivent à Goma dans le cadre de cette opération.
En dépit de la poursuite des combats et d'une situation humanitaire critique, Kinshasa a par ailleurs réclamé le départ accéléré de la force de l'ONU (Monusco) présente dans le pays depuis 25 ans, la jugeant inefficace pour protéger les civils face aux groupes armés.