Sans donner davantage de détails sur cette seconde attaque déjouée, le chef de l’Etat a salué la mobilisation des forces de l’ordre et des personnels de santé pour porter secours aux victimes.
Selon les informations de BFMTV, Emmanuel Macron se référait à l’interpellation, en tout début d’après-midi, d’un homme âgé de 24 ans, armé d’un couteau alors qu’il se trouvait aux abords d’un lycée de Limay, dans les Yvelines (région parisienne).
L’individu, connu des services de police pour des faits de radicalisation, était vêtu d’une djellaba et sortait d’une mosquée alentours.
Rapidement repéré par un équipage des forces de l’ordre, le suspect a été interpellé et placé en garde à vue pour des faits de « port d’arme prohibée ».
Un professeur de Français a été mortellement touché à la gorge tandis que deux autres personnes dont un agent de service et un professeur de sport, ont été blessés au cours de l’attaque.
Le PNAT (parquet national antiterroriste) s’est saisi de l’enquête pour des faits qualifiés d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste, de tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste, et d’association de malfaiteurs terroriste en vue de préparer des crimes d’atteinte aux personnes.
Les investigations ont été confiées à la sous-direction antiterroriste de la direction nationale de la police judiciaire (SDAT), appuyée par la direction nationale de la police judiciaire (DNPJ) et en lien avec la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).