Le Comité international olympique (CIO) a vigoureusement critiqué la Russie pour ses "Jeux de l'amitié", les accusant de politiser le sport et appelant à un rejet de toute participation à cet événement concurrent des Jeux olympiques. Une accusation surprenante pour cette institution qui exclue les athlètes russes et bélarusses sur des considérations... politiques.
Le Comité international olympique a intensifié sa réprobation envers la Russie, l'accusant de politiser le sport en lançant les "Jeux de l'amitié", une nouvelle compétition qui se veut concurrente des Jeux olympiques traditionnels.
Le CIO a exhorté les acteurs du monde sportif et les gouvernements invités par la Russie à ne pas soutenir ni participer à cet événement, affirmant que la Russie utilise une diplomatie agressive pour promouvoir ces jeux et contourner les instances sportives nationales.
De plus, le CIO a exprimé des préoccupations concernant les normes antidopage des "Jeux de l'amitié", soulignant le précédent scandale de dopage institutionnalisé qui a ébranlé les Jeux olympiques précédents.
Cependant, le CIO reste sur ses positions, tandis que le président français Emmanuel Macron a exprimé son intention de demander un cessez-le-feu en Ukraine à la Russie lors des JO 2024, conformément à la trêve olympique adoptée par l'Assemblée générale des Nations unies.
Les relations entre le CIO et la Russie restent donc tendues, avec peu de perspectives de rapprochement à court terme.