La France a reconnu ce massacre comme elle ne l'a jamais fait.
De nombreuses zones d'ombre subsistent sur les circonstances de la tuerie, le nombre de morts ou la localisation des corps.
Il ne s'agissait pas seulement de Sénégalais, mais d'hommes venus d'autres possessions françaises en Afrique.
Les autorités françaises de l'époque avaient admis la mort d'au moins 35 personnes. Plusieurs historiens avancent un nombre de victimes bien plus élevé, jusqu'à plusieurs centaines.
Avec ces commémorations, les nouvelles autorités sénégalaises rompent avec les précédentes.