Selon l’Obs, une source proche du dossier avait affirmé en mai dernier qu'environ 80 Françaises ont exprimé leur souhait de rester en Syrie.
Les autorités françaises avaient procédé en juillet 2022, à la première opération de rapatriement collectif de compagnes de terroristes et de leurs enfants, avant celle d'octobre, puis de janvier derniers.
Marie Dosé, avocate de familles de femmes et d'enfants détenus dans les camps du nord-est de la Syrie, a affirmé:
Il reste dans ces camps une centaine d'enfants qui ne connaissent que la fange, les barbelés et la violence.