Vladimir, 58 ans, est près d'un feu de joie devant le bâtiment endommagé où il vit dans la ville de Lyman, près de la ligne de front dans la région de Donetsk, le 17 janvier 2025.
L'Allemagne et la Suède ont déclaré vendredi qu'il revient à l'Ukraine de décider si et quand entamer des négociations avec Moscou.
Lors d'une conférence de presse conjointe à Berlin avec le Premier ministre suédois en visite, Ulf Kristersson, le chancelier allemand, Olaf Scholz, a souligné l'importance de maintenir le soutien à l'Ukraine.
Évoquant ses discussions avec le président élu des États-Unis, Donald Trump, Scholz a déclaré:
Je ne m'attends pas à ce qu'il mette fin au soutien que l'Amérique a accordé à l'Ukraine dans le domaine de la défense.
Scholz a également affirmé que la guerre menée par la Russie en Ukraine a renforcé l'OTAN et que Moscou n'a jusqu'à présent pas réussi à atteindre ses objectifs stratégiques grâce au soutien fourni à Kiev par ses alliés.
"Poutine doit comprendre qu'il est temps que cette guerre prenne fin. Notre tâche est de faire tout notre possible pour préparer le terrain à une paix durable et réalisable"
, a-t-il ajouté.
Le Premier ministre suédois Kristersson a également souligné la nécessité d'un soutien accru à l'Ukraine, insistant sur le fait qu'il doit être à la fois conséquent et décisif.
Il a appelé à un renforcement des sanctions contre la Russie, en mettant particulièrement l'accent sur son secteur énergétique, qu'il considère comme une priorité.
En ce qui concerne les relations avec les États-Unis, Kristersson a déclaré:
"Nous nous réjouissons de collaborer étroitement avec la nouvelle administration américaine pour promouvoir un monde plus prospère, sûr et durable."
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