Des Palestiniens ayant trouvé refuge dans le camp de réfugiés de Jabaliya, au nord de la bande de Gaza, après avoir fui les attaques menées par l'armée israélienne, le 24 septembre 2024.
Depuis le 7 octobre, la guerre israélienne a causé plus de 41 000 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé local, en dépit des appels internationaux à l'arrêt des combats.
La guerre d'Israël déclarée au mouvement Hamas dans la bande de Gaza a fait, depuis le 7 octobre dernier, 41 467 morts, a indiqué mardi le ministère de la Santé de l'enclave palestinienne assiégée.
Au 354e jour du conflit, le ministère de la Santé local fait état, dans son bilan quotidien des victimes, de
"41 467 morts et 95 921 blessés".
"L'armée de l'État hébreu a perpétré trois carnages contre des familles gazaouies au cours des dernières 24 heures, faisant au moins 12 morts et 43 blessés"
, ajoute le ministère, qui fait état, en outre, de
"plusieurs victimes toujours ensevelies sous les décombres et jonchant les routes, les ambulances et les équipes de la protection civile n'ayant pas réussi à les atteindre".
Tel Aviv poursuit depuis près d'un an cette guerre, avec le soutien inconditionnel de Washington, en dépit d'une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies exigeant l'arrêt immédiat des combats et d'une ordonnance de la Cour internationale de justice indiquant des mesures conservatoires pour prévenir un génocide et améliorer la situation humanitaire à Gaza.
Le procureur général de la Cour pénale internationale (CPI), basée à La Haye, a demandé l'émission de mandats d'arrêt internationaux contre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et son ministre de la Défense Yoav Gallant pour
"crimes de guerre"
et
"crimes contre l'humanité"
.
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