La municipalité de Metz, par voie de communiqué, a indiqué qu'elle se portait volontaire pour accueillir des familles palestiniennes touchées par le conflit. Le maire de Metz, François Grosdidier, a souligné que Metz a une longue tradition d'accueil des réfugiés, mentionnant les Syriens et les Ukrainiens comme exemples récents.
La mairie de Lille, dirigée par le PS, a également exprimé sa volonté d'accueillir des réfugiés palestiniens. Lille a déjà accueilli des réfugiés afghans et ukrainiens et a reçu un accord pour héberger deux artistes palestiniens, selon une déclaration aux médias.
Depuis le début du conflit, le 7 octobre, les bombardements israéliens ont causé la mort de plus de 36 000 civils palestiniens, principalement des enfants et des femmes, selon le ministère de la Santé de la bande de Gaza.
L'armée israélienne continue de bombarder l'enclave palestinienne, à l'heure où la Cour internationale de justice (CIJ), la plus haute juridiction des Nations unies (ONU), a appelé à la cessation de cette offensive militaire dans le territoire palestinien, ravagé par plus de sept mois de bombardements incessants et indiscriminés. Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, avait déjà demandé l'émission de mandats d'arrêt contre des dirigeants israéliens, dont Benyamin Nétanyahu.
Les ordonnances de la CIJ, bien que juridiquement contraignantes, ne sont pas respectées par le gouvernement israélien.