Après plusieurs jours de bras de fer, la date a été conclue en accord avec le principal parti d'opposition, les conservateurs de la CDU/CSU, a ajouté cette source.
Ce compromis permettrait de clarifier la suite des événements, après la rupture mercredi de la coalition tripartite dirigée par Olaf Scholz qui a plongé la première économie européenne dans une crise inédite.
Le chancelier, désormais à la tête d'un gouvernement minoritaire avec les écologistes, avait dans un premier temps fixé le vote de confiance le 15 janvier en vue d'un scrutin en mars.
Mais pressé de toutes parts d'accélérer la cadence, l'impopulaire dirigeant avait alors fait marche arrière et confié le soin de fixer la date aux groupes parlementaires des conservateurs de la CDU/CSU, premier parti d'opposition largement en tête dans les sondages d'opinion, et de son parti social-démocrate (SPD).