À court d'argent et critiqué en raison de la corruption, d'une économie faible, d'incessantes coupures d'électricité et d'une criminalité croissante, plusieurs sondages montrent que le Congrès national africain (ANC) pourrait passer sous la barre des 50% pour la première fois de son histoire, sans forcément menacer son pouvoir lors des élections générales prévues en mai.
Trahisons et double jeu
En dehors du parti aussi, la critique enfle.
Même pas peur
Certains analystes estiment que la désertion de Zuma pourrait même faire chuter ce chiffre sous les 45%. Sa région, le pays zoulou (Est), compte le plus grand nombre de membres de l'ANC.