Dans une déclaration diffusée par France 3, la directrice de France 3 Occitanie, Claire Combes, "condamne fermement ces violences et atteintes à la liberté de la presse et apporte son soutien total aux journalistes dont le travail a été une nouvelle fois entravé aujourd'hui".
Une journaliste de France 3 a été violemment projetée au sol par une gendarme alors qu'elle tentait de couvrir la mobilisation en cours dimanche dans le Tarn (sud-ouest de la France) où des militants protestent contre la construction de la future autoroute A69.
Sur les images, largement partagées sur les réseaux sociaux, on aperçoit la journaliste du service public tenter d'accéder au site avant d'être bloquée puis poussée au sol par une gendarme.
"Je suis restée calme pour le moment"
, s'écrie la membre des forces de l'ordre affirmant qu'elle ne souhaitait pas
"faire mal".
Dans une déclaration diffusée par France 3, la directrice de France 3 Occitanie, Claire Combes,
"condamne fermement ces violences et atteintes à la liberté de la presse et apporte son soutien total aux journalistes dont le travail a été une nouvelle fois entravé aujourd'hui".
Voilà plus d'un an que les journalistes de France 3 Occitanie sont gênés dans l'exercice de leurs fonctions par les forces de l'ordre le long du tracé de l'A69.
"Une nouvelle étape a été franchie cet après-midi lorsqu'une journaliste de France 3 Tarn a été violemment poussée à terre par un officier de gendarmerie alors qu'elle tentait de rejoindre son lieu de tournage"
, relate la responsable du média.
Toujours selon la chaîne de télévision, le préfet du Tarn a présenté ses excuses aux journalistes concernés.
À lire également:
#France
#Violences policières
#Liberté de presse
#Autoroute A69
#Journaliste
#Claire Combes
#Gendarmerie
#France 3
#Restriction de l'expression