![Crédit photo: FRED TANNEAU / archives /AFP](https://img.piri.net/piri/upload/3/2023/3/30/7fbf66e4-134wc951bskwpesk8b7v3p.jpeg)
Des chercheurs, dont les conclusions paraissent dans la revue Environmental Microbiome, ont commencé par mener une étude pilote avec des abeilles à miel du quartier new-yorkais de Brooklyn, avant d'étendre leurs recherches à quatre autres villes (Melbourne, Sydney, Tokyo et Venise).
Ils ont postulé que ces insectes, qui peuvent parcourir plus d'un kilomètre et demi autour de leur ruche en ville, pourraient être précieux pour la collecte de ces micro-organismes urbains, évitant de confier cette tâche laborieuse à des humains.
Mais il ne mise pas tout non plus sur les abeilles dont l'activité est notamment marquée par les saisons pour cela, suggérant que d'autres espèces proches de l'homme pourraient peut-être un jour faire ce travail.
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