Se déclarant choqué par les informations faisant état de 20 morts et de 155 blessés parmi les civils sollicitant de l'aide à Gaza, Martin Griffiths a déclaré :
Nous ne pouvons pas permettre la poursuite de ces incidents.
Israël mène une campagne de représailles contre la Bande de Gaza depuis l'attaque transfrontalière menée, le 7 octobre, par le mouvement de résistance palestinien Hamas, faisant plus de 31 000 morts et quelque 73 000 blessés.
Environ 85 % des habitants de Gaza ont été déplacés par les attaques israéliennes dans un contexte de graves pénuries de nourriture, d'eau potable et de médicaments, tandis que 60 % des infrastructures de l'enclave ont été endommagées ou détruites, selon les Nations unies.
Israël est poursuivi devant la Cour Internationale de Justice (CIJ) pour crime de génocide. Dans une ordonnance rendue en janvier, la CIJ a enjoint Tel-Aviv de mettre fin aux actes à caractère génocidaire et de prendre des mesures pour garantir l'acheminement de l'aide humanitaire à la population civile de la Bande de Gaza.