Toutes les licences d'exportation avaient été approuvées avant l'interdiction en janvier par le gouvernement fédéral de nouvelles ventes d'armes canadiennes susceptibles d'être utilisées à Gaza.
Le permis d'exportation d'une division québécoise de l'entreprise américaine General Dynamics, qui produit des munitions destinées aux forces de défense israéliennes, est concerné par la mesure de suspension.
Ajoutant qu'elle était en contact avec General Dynamics, Mélanie Joly a soutenu:
La politique est claire: il n'y a pas d'armes, ni de composantes d'armes canadiennes qui vont se retrouver à Gaza. un point c'est tout.
Allié clé des États-Unis, qui fournissent à Israël des milliards de dollars par an d'aide militaire, le Canada s'était attiré les foudres des dirigeants israéliens lorsqu'il avait annoncé initialement qu'il cesserait toute nouvelle livraison d'armes à Israël à compter du 8 janvier.
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