L’Inde, membre d’Interpol, n’est pas obligée de répondre favorablement à cette demande et peut appliquer ses propres lois pour décider de l’arrestation ou non de Mme Hasina.
Selon Muhammad Yunus, prix Nobel de la paix et nommé chef du gouvernement intérimaire le 9 août, les autorités bangladaises souhaitent traduire en justice tous ceux qui ont aidé l’ancienne Première ministre à réprimer les mouvements contre son régime. Plusieurs anciens ministres de Mme Hasina, actuellement détenus, doivent également comparaître pour répondre d’accusations similaires.