Vous vous souvenez peut-être de l'hélicoptère terroriste qui s'est écrasé dans le nord de l'Irak en mars de l'année dernière. Cet incident avait permis de décrypter la volonté des États-Unis d'unir les structures terroristes du nord de la Syrie et du nord de l'Irak. Les terroristes étaient transportés entre les deux régions. À Soulaymaniyah, dans le nord de l'Irak, le président de l'UPK, Talabani , a joué un rôle essentiel dans ce processus. C'est pour cette raison qu'il a subi les sanctions de
APPROCHE CENTCOM-ISRAËL
Nous sommes à nouveau confrontés à une nouvelle situation. Le processus de dialogue Damas-Ankara - même si Damas est confus - a été relancé. Israël utilise l'attaque du 7 octobre comme une opportunité pour forcer la région à entrer en conflit et les Etats-Unis à rester dans la région. Les États-Unis, dont on disait qu'ils allaient quitter la Syrie, ont renforcé leur présence militaire au Moyen-Orient. Le CENTCOM a recommencé à prendre les rênes. Que feront alors les États-Unis ? Les signaux sont contradictoires. En voici la liste...
LES TROUPES AMÉRICAINES SERONT-ELLES DÉPLOYÉES DANS LE NORD DE L'IRAK ?
LES SANCTIONS SONT LEVÉES, LES MESSAGES SONT CHALEUREUX
Résumé : Un nouveau statu quo se dessine. Les États-Unis envoient des signaux contradictoires sur ce qu'ils doivent faire. Je reviendrai plus tard sur ce que cette situation nous apprend.
POURQUOI LE MINISTRE SYRIEN A-T-IL QUITTÉ LA RÉUNION ?
Premièrement. Les décisions de la Ligue arabe sont prises par consensus. Damas ne s'est pas opposé à la participation d'Ankara à la réunion. Deuxièmement. Le ministre et une partie de son entourage ont quitté la salle, mais le reste de la délégation est resté à la table. La Syrie était représentée pendant le discours. Troisièmement. Nous ne sommes pas intéressés par ce que le ministre syrien des affaires étrangères a fait là-bas. Nous sommes allés à la réunion pour la Ligue arabe, pas pour la Syrie, et nous avons été très satisfaits de ce que nous avons entendu de la part de nos amis arabes.