
Ekrem İmamoğlu, maire d'Istanbul, est accusé d'avoir dirigé un réseau criminel impliqué dans le blanchiment d'argent, la corruption, la fraude et des irrégularités dans des appels d'offres publics.
L'enquête du parquet d'Istanbul révèle qu'il aurait mis en place un système permettant de collecter des fonds illégaux via des entreprises fictives et des contrats frauduleux.
Parmi les accusations figurent :
- Pression exercée sur des hommes d'affaires pour obtenir des fonds.
- Attribution frauduleuse de marchés publics.
- Utilisation de "caisses noires" pour dissimuler des transactions illicites.
Des soupçons de liens avec une organisation terroriste
106 personnes placées en garde à vue
- Tuncay Yılmaz, Fatih Keleş, Ertan Yıldız (cadres municipaux impliqués dans les marchés publics)
- Mahir Polat, Général adjoint d'IBB
- Resul Ekrem Şahan, maire de Şişli
- Ebru Özdemir, adjoint au maire de Şişli
- Mehmet Ali Çalışkan, président du Reform Enstitüsü
Arrestation d'Ekrem İmamoğlu à son domicile
L'affaire, qui suscite de vives réactions sur la scène politique, est suivie de près par l'opinion publique et les instances judiciaires.
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