La directrice de l'IWF, Susie Hargreaves, a exprimé sa profonde inquiétude face à cette tendance alarmant:
Nous avons atteint un point critique où la technologie permet aux délinquants de créer des images extrêmement réalistes, sans qu'un seul enfant réel ne soit impliqué, mais cela n'enlève rien à l'horreur que ces images représentent.
L'IWF appelle à la mise en place de cadres législatifs plus stricts, notamment pour contraindre les grandes entreprises technologiques à mieux surveiller et réguler les contenus circulant sur leurs plateformes. Actuellement, les infrastructures juridiques ne semblent pas préparées à affronter cette nouvelle vague de criminalité numérique.