La Seine était trop polluée au 16 juin, à un mois et demi des Jeux olympiques (26 juillet - 11 août), selon les critères pour y autoriser les épreuves de triathlon et de natation en eau libre, d’après les résultats d’analyses publiés vendredi.
Mais le suspense demeure sur la tenue des épreuves olympiques depuis les "test-events" d’août 2023 qui ont dû être en grande partie annulés en raison d’une qualité de l’eau insuffisante.
En cas de précipitations intenses, de l’eau non traitée - mélange de pluie et d’eaux usées - peut être rejetée dans le fleuve, un phénomène que des ouvrages de rétention inaugurés juste avant les Jeux ont vocation à empêcher.
Le plan B consiste à reporter de quelques jours les épreuves, mais pas à changer de lieu.