Des drapeaux palestiniens ont été posés à même le sol, d'autres suspendus en hauteur. L'occupation se déroulait de manière pacifique, selon un journaliste de l'agence.
Notre action est spontanée et n'a ni chef ni dirigeant. Les personnes qui occupent le bâtiment universitaire refusent d'être complices du génocide colonial perpétré par le régime d'apartheid israélien.
Le recteur de l'UNIL, Frédéric Herman, s'est rapidement rendu sur place pour discuter un moment avec quelques étudiants.
Interrogé aussi par l'agence de presse, un étudiant a salué l'instauration du dialogue avec M. Herman.
Selon lui, l'occupation devrait se poursuivre jusqu'à la prise en compte des revendications du mouvement, et donc a priori au moins jusqu'à lundi. Quelques dizaines de manifestants se préparaient d'ailleurs à passer la nuit sur place.