À l'occasion de la commémoration du 1ᵉʳ novembre, marquant le déclenchement de la guerre d'indépendance algérienne, Emmanuel Macron a reconnu officiellement l'assassinat de Larbi Ben M'hidi, l'un des dirigeants historiques du Front de Libération Nationale (FLN), par l'armée française en 1957.
À l'occasion de la commémoration du 1ᵉʳ novembre, marquant le déclenchement de la guerre d'indépendance algérienne, Emmanuel Macron a reconnu officiellement l'assassinat de Larbi Ben M'hidi, l'un des dirigeants historiques du Front de Libération Nationale (FLN), par l'armée française en 1957.
L'insurrection du 1ᵉʳ novembre 1954 marque le début de la guerre d'indépendance algérienne, un conflit de près de huit années opposant les forces nationalistes algériennes aux autorités coloniales françaises. Lancée par le Front de Libération Nationale (FLN), cette insurrection visait à libérer l'Algérie du joug colonial en mobilisant à la fois des actions armées et un large soutien populaire.
Ce soulèvement marqua une escalade dans les tensions, entraînant la France dans une guerre coûteuse et marquée par de nombreuses violences, notamment la répression militaire et les batailles urbaines comme celle d'Alger. Après des milliers de morts et des années de combats acharnés, cette guerre s'acheva en 1962 avec la signature des accords d'Évian et l'indépendance de l'Algérie, mais les blessures laissées par ce conflit continuent de façonner les relations entre les deux pays.